Abajo en la calle el agua fría de la lluvia
arrastra
avivadamente mis pensamientos,
descienden por las veredas que llegan al Sena…
No puedo imaginar hasta cuándo.
Et toutefois
tu rêves toujours d'amour,
Et le temps
passe vite comment la pluie à Paris.
Après,
seulement une ville mouillé et mélancolique
Et un peu de
fausseté, demeurent sous moi.
Y cuando te dije, antes de cerrar los ojos,
Que te amaba y que así sería para siempre,
No deseaste comprenderlo, estabas triste.
Ahora creo que el amor no es una prisión.
Je pense que
je dois passer mon chemin
Pour le
temps que tu m'as aimé, je te remercie bien.
Et j’espère,
que la pluie très froide de l’hiver prochain
Ramènent
encore mes penses fugitives.
H.
Muñoz 22/12/2014 Paris