viernes, 9 de enero de 2015


Abajo en la calle el agua fría  de la lluvia
 arrastra avivadamente mis pensamientos,
descienden por las veredas que llegan al Sena…
No puedo imaginar hasta cuándo.

Et toutefois tu rêves toujours d'amour,
Et le temps passe vite comment la pluie à Paris.
Après, seulement une ville mouillé et mélancolique
Et un peu de fausseté, demeurent sous moi.

Y cuando te dije, antes de cerrar los ojos,
Que te amaba y que así sería para siempre,
No deseaste comprenderlo, estabas triste.
Ahora creo que el amor no es una prisión.

Je pense que je dois passer mon chemin
Pour le temps que tu m'as aimé, je te remercie bien.
Et j’espère, que la pluie très froide de l’hiver prochain
Ramènent encore mes penses fugitives.


H. Muñoz    22/12/2014 Paris